Lueur de l'Aube Chat actif
Surnom : Lumy/Auby Messages : 200 Date d'inscription : 21/02/2013
Votre chat Âge du félin: 11 lunes Barre de vie: (200/200) Hunger Games:
| Sujet: Texte commencé de Lumy Mer 31 Juil - 22:20 | |
| Hey ! Il y a peu j'ai commencé à écrire une histoire, plutôt genre science-fiction, qui, par contre, met en scène des humains et non des chas ^^' Globalement, ça raconte ça : Dans un futur lointain, sur une île volcanique paradisiaque perdue au milieu de l'océan pacifique, l'île d'Habe (qui signifie espoir en Danois) une civilisation bien tranquille s'est développée. On a perdu le compte des années, personne ne sait depuis quand cette terre auparavant inconnue a été trouvée, et comment la vie s'y est développée. Rien d'anormal, de surhumain. Car, depuis 14 ans, rien n'est venu troubler la vie paisible d'Hanaah, une des habitante de l'île. C’est un jour, lors d'un cours d'histoire, qu'elle apprend que son île n'est pas seule au monde, et que, bien des siècles auparavant, une autre civilisation existait, sur ce qu’on appelle les "continents". En apprenant comment ces hommes ont été détruits, comment ils se sont raccrochés à la moindre parcelle de vie, et à leur désespoir de voir leur planète en perdition, Hanaah les compare à ceux qu'elle connait et des soupçons s'éveille en elle : ses parents, ses professeurs, les adultes de son entourage, son bien différent de ceux des Continents. En revanche, elle et les jeunes de son âge leur ressemble déjà beaucoup plus... Alors elle voit sa petite île ous un autre angle : qui sont ces "adultes", êtres inconnus, si différends, si mystérieux, aux réflexes bizarre et au regard étrange ? Sont-ils au moins... humains ? Bon, ce n'ai pas très clair. Enfin, j'ai commencé l'histoire qui débute comme ceci : - Voilà voili :
Prologue
Le vieux chef était assis à son bureau, l’air exténué mais ravi. Il fixait avec satisfaction une longue feuille de papier sur laquelle était dessiné une multitude de traits, formant un schéma compliqué. Quelqu’un toqua à la porte. - Entrez, dit-il d’une voix forte. Un homme d’âge mur, grand et mince, entra dans la petite pièce encombrée et s’assit sur la chaise face au bureau de son supérieur. - Alors ? demanda-t-il. - Eh bien, je crois que c’est terminé, mon cher Wilfried. Nous avons – ou plutôt j’ai - enfin trouvé une solution. Désormais, l’humanité sera préservée. Wilfried se pencha pour regarder les schémas sur le bureau. Après une longue réflexion, il renifla : - Et comment en être sûr ? Le chef rit doucement : - Ca, mon cher, ce sera le travail de… d’autres heu… cobayes. Son interlocuteur se raidit imperceptiblement. - Des cobayes, chef ? - Pas l’une d’entre nous, rassure toi. Des cobayes de heu… mon invention. - Et si votre invention ne marche pas ? Il nous en faudrait des vrais. - Une fois que nous serons sûr que tout fonctionnera. Je te vois bien pressé de mettre l’un des notre en service, Wilfried. - Et nous alors ? demanda l’autre, changeant délibérément de sujet. Nous ne pouvons rester là. - J’ai trouvé un endroit sûr pou au moins une bonne cinquantaine d’année, à l’abris des caprices de la terre. De nouveau, Wilfried sembla perdu dans ses pensées. Puis il déclara : - Eh bien, je crois que c’est faisable. Je suis partant. - Très bien, dit le vieux en se levant. Alors, commençons, si tu le veux bien.
Chapitre 1
Aujourd’hui aurait put être un jour comme les autres. Mais ce ne fut pas le cas. C’était un jeudi. Un jour ensoleillé, avec quelques nuages blancs qui parcouraient le ciel d’azur. Comme d’habitude, je me levais, prenait mon petit déjeuner et me coiffait. Puis je m’habillais, prenait mon sac et me précipitais sur mon vélo. Mon Initiation est à même pas deux kilomètres de chez moi. J’arrive en retard, comme d’habitude (oui, j’arrive toujours en retard, ou que ce soit quand que ce soit. Tout le monde me le fait remarquer, et moi-même je ne sais pas comment je me débrouille). Je gare mon vélo à l’entrée du grand portail en acier et plaque ma main sur le mur, à un endroit où il y a une empreinte pré dessinée. Aussitôt, les pans de fer coulissent. Lassé d’écrire à mes parents, « l’anti-retardataires » - comme on l’appel à l’Initiation - ne me dit rien quand j’arrive. Il se contente de vérifier si j’ai mon badge d’entrée (nous ne pouvons pas manger ni assister aux activités si nous ne l’avons pas). Et, comme tous les jeudi matin, je cours jusqu’à la salle d’Histoire. Je ne sais pas vous, mais moi, ça me barbe, l’histoire. Je n’en vois pas l’intérêt d’apprendre ça, toutes les personnes dont on parle sont mortes. Certains pensent ça aussi, mais d’autres aiment bien et participent en ce cours. Mais ce que je vois en ouvrant la porte ma déstabilise tant que j’oublie de dire « désolée pour le retard ». Tous mes camarades de classes – tous, sans exception – affichent un air de totale surprise et incompréhension, tout en étant suspendus aux lèvres de l’Initiatrice. Elle parle d’une voix égale mais on voit sur son visage normalement impassible des traces de tristesse ou autre chose que je ne saurais pas définir. Je m’immobilise sur le pas de la porte et, (pour la première fois !) j’écoute.
« … Oui, et, comme la paix ne peut jamais vivre éternellement, une guerre a éclaté. Ces hommes n’étaient pas tous égaux, mais avaient en eux une violence inouïe. Ainsi ils s’autodétruisirent. Cette idée vous paraît absurde, mais c’est la vérité. Et vue l’étendue de leur territoires, cette guerre dura plusieurs générations. La plupart des ressources ce cette planète avaient été utilisées, petit à petit la population restante et les être vivants dépérissaient. Puis, comme cela arrive parfois, un gigantesque séisme secoua la terre, formant ainsi l’île sur laquelle nous vivons et ses voisines. Les survivants des Continents allèrent s’y réfugier, et c’est de ces hommes que vient notre population. Y a-t-il des habitants de nouveau sur les continents de nos jours – c'est-à-dire 4 siècles plus tard ? Pas à notre connaissance, mais je ne sait pas si nos savants et chercheurs font beaucoup d’efforts pour le savoir. »
Elle avait dit ces mots avec une pointe de regret. Un grand silence suivit ces paroles. Et moi, je restai figée, là, la bouche entrouverte, mes yeux bleus sombres fixés sur l’Initiatrice. Puis elle se tourne vers moi et me dit sur son ton sec habituel :
« Allez vous asseoir, Hanaah. »
Lentement, je me dirige vers le fond de la classe et m’effondre lourdement sur ma chaise à côté de mon amie, Sam.
J'ai aussi fait un poèmes, une fois où j'avais de l'inspiration. C'est un peu nul mais bon... - Spoiler:
Air hautain, oreilles dressées, Le chat essaye de se faire grand, De te dominer. Y arrivera-t-il ? Il te regarde d’un air craquant Pour que tu lui donnes ton assiette, Il se blottit sur tes genoux, Ronronne et ferme les yeux Pour que tu le caresses, Tu lui achètes des jouets, Tu mets à sa disposition couffin et oreillers, Tu lui donnes un bac à litière pour ses besoins. Tu le trouves beau mignon, parfois tu le vénères ! Mais que te donnera-t-il en échange ? Il ne finira pas les ¾ de ton assiette, Parfois il te griffera lorsque que tu ne le caresseras pas au bon endroit, Il jouera avec ce que tu lui donnes, mais il s’y désintéresse au bout de 2 jours, Il ne se couchera pas là où c’est confortable, mais juste à l’autre bout de la pièce, sur le carrelage, Il fera ses besoins à côté du bac à litière, A quoi ressemble-t-on pour lui ?
Celui là a une contexte ... - Spoiler:
Dans un bruissement de feuilles, Ciel de l’Aube pénétra dans une clairière inconnue. Elle s’y assis silencieusement et regarda vers la lune. Elle était pleine et ronde. Mais elle ne luisait pas. Elle était…verte. Non, noire. Ou rouge. On pouvait l’imaginer sous toutes les couleurs. La vieille chatte frissonna sous son pelage pelé.
Je lève la tête. Mon regard croise celui de la lune verte. Elle bouge. Je cille. J’ai quitté les Clans. Je n’aurais pas dû. Ici, que la mort m’attend. La mort… Je pourrais la sentir qui referme ses griffes sur moi, Des griffes froides, une odeur inimitable. Je les vois. Ils sont là, tout près, de l’autre côté D’un voile argenté. A gauche, leurs yeux brillent d’un éclat blanc, Leur fourrure n’est plus. Leurs âmes non plus. C’est pourquoi on peut lire, Sur leur corps décharnés, Toute la violence qui a été, Depuis le début, Dans la forêt. Sur ma droite, derrière un voile doré, Se dressent les plus beaux félins Qu’il n’a jamais été. Enfin, peut-être pourrais-je survivre ? Dans leurs prunelles, aussi claires que de l’eau vive, Danses les lueurs de l’été ; De leur fourrure étoilée Sors un parfum glacé. Je veux les rejoindre, je me redresse, Lorsqu’un détail m’arrête. Un rayon de lune éclaire la scène, Que je vois alors sous un jour différent.
Ciel de l’Aube se lève d’un bond. A présent, du côté droit, elle peut voir les pattes des félins, tout à l’heure si belles, baigner dans le sang de leurs victimes. Dans leurs yeux luit une lumière de ruse et de méchanceté. Quant aux chats de gauche, tout à l’heure si effrayants, ont l’air pitoyables à côté des démons, des bêtes cruelles et fourbes qui se trouvent à leur droite. La vieille chatte secoue la tête, encore sonnée. J’aimais elle n’a vu un spectacle aussi horrible de toute sa vie. Elle était venue ici pour se laisser mourir, non pour voir une horde de félins désespérés, ou sadiques. Une pensée lui vient à l’esprit. Il manquait quelque chose dans la dernière scène de sa vision. Y a t-il du bien en ce bas monde ?
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