Âmes Maudites Chat actif
Surnom : Tifou, Âmes, Prêle, Aube.... Messages : 124 Date d'inscription : 09/08/2014
Votre chat Âge du félin: 36 lunes Barre de vie: (200/200) Hunger Games:
| Sujet: Le saule qui pleure.... [LIBRE] Ven 26 Sep - 23:00 | |
| Plic, ploc, plic,ploc,plic,ploc, plic, ploc....... Les gouttelettes d'argent dégoulinait des longues branches des saules et se perdaient alors dans les méandres de l'étang, créant au passage une pluie au couleur de l'arc-en-ciel. La chatte au pelage roux sombre s'étiras de tous son long. Le soleil allait bientôt se coucher, et le crépuscule allait apparaître. C'est ce qu’Âmes Maudites se plaisait beaucoup à appeler l'heure des fantômes. Ce moment ou les ombres se mélangeait à la terre, et ou l'on pouvait se confondre entre esprit et apparitions. La rouquine avait l'impression qu'à ce moments là, les esprit pouvait descendre sur terre et se mélanger au vivant, comme lors de leur vie à eux. Âmes Maudites aimait bien ce moments, car c’était le plus calme de sa grosse journée. Après ses taches quotidienne de guerrière, elle était venue se réfugier là pour être tranquille. Le Clan manquait également de gibier, et une ou deux carpes n'aurait pas été de trop pour requinqué le tas de gibiers. La lieutenante se tapit tous contre la berge et attendit, la patte levé.La patience était le premier atout du chasseur. Une trop grande précipitation pouvait gâchée de longue heure de chasse passé à l'affue. Soudain, un mouvement rapide dans l'eau ramenas toute l'attention de la chatte sur sa chasse. Une grosse carpe nageait tranquillement entre les joncs et roseaux , sans ce doutée du prédateur qui l'attendait. Âmes Maudites levas la pattes. Une proie comme celle-ci pourrait rassasier tous le clan pour une journée entière. Elle abattit la patte, en sortant les griffes. De l'eau gicla, et la surface de l'étang pris des teintes rouges argentées. Âmes Maudites sortit de l'eau sa proie, et la renifla. Elle était vraiment énorme. Elle s'en pourléchait les babines d'avance. Les anciens serait content, eux qui n'avait pas vus de poissons depuis au moins trois lunes. La lieutenant creusas un trou et enterras sa proie, puis se remit à l'affue ce serait l'apothéose si elle arrivait à en avoir un deuxième.......
Dernière édition par Âmes Maudites le Jeu 16 Oct - 19:24, édité 1 fois | |
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Nymphe Océanique Je prends mes marques
Surnom : Honey Messages : 64 Date d'inscription : 26/08/2014
Votre chat Âge du félin: Barre de vie: (200/200) Hunger Games:
| Sujet: Re: Le saule qui pleure.... [LIBRE] Mar 23 Déc - 15:51 | |
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Je n'avais pas vraiment foulé un territoire libre. C'était une sensation étrange. L'atmosphère était chargée d'odeurs diverses, tant et si bien qu'elles me mettaient presque mal à l'aise. Pourtant, il faisait bon. Mes coussinets, ayant l'habitude de fouler une terre plus dure, plus sèche, s'étonnaient de s'embourber, même très légèrement, à certains endroits. L'eau était là, toute proche, et elle avait avec elle son lot de nourriture. Si je savais pêcher ? Non. Ou peut-être que si, un peu. On avait certainement dû m'initier, jeune, mais je m'en étais désintéressée. Trop lent. Trop barbant. Et surtout, la chair était immangeable, écailleuse, désagréable sur la langue. Peut-être que j'avais un pelage favorable au camouflage, mais je ne m'en servais pas pour ce genre de choses. Plus j'avançais, plus mes poils frémissaient. Mes oreilles avaient capté un son suspect, qui ne provenait certainement pas d'une proie - à moins qu'elle ne soit aussi imposante qu'un renardeau, mais il n'y avait guère de renardeau ici. Je fis une halte, sceptique. Même si je rencontrais un ennemi, je ne pouvais le combattre, ce qui me frustrait terriblement. Machinalement, je grattai la terre de mes longues griffes. Je ne fis pas ce geste longtemps, car l'humidité rentrait dans ma peau, ce qui m'horripilait. Je m'ébrouai - inutilement, j'admets - et poursuivis mon chemin. L'eau était toute proche, à présent, et j'entendis un félin enterrer quelque chose - sans doute sa trouvaille. Je me tapis contre le sol, m'attendant à ce qu'il parte, aussi silencieuse qu'une ombre et me fondant parfaitement dans le décor.
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