(L1) One Day | Libre

Invité

Lune du Printemps de l'Espoir,
10ème jour, après-midi
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Lune de givre était partie découvrir le territoire des terres libres, elle avait quittée son clan en début d’après-midi en ce 10éme jours de Lune du printemps de l’espoir. En trottinant en toute légèreté la guerrière avait traversée le territoire de son clan pour se rendre en terre libres. La blanche avait marquée une pose juste devant la frontière invisible, le cœur battant à tout rompre. C’était la première fois qu’elle allait autre pars que dans le territoire du clan de la nuit noire. Son sourire s’effaça de son visage, sur ses gardes, attentive aux moindres bruits, elle franchit la frontière. Avançant doucement comme si un ennemis aller lui tomber dessus. Elle sortit des fourrés et marcha comme si de rien n’était. La queue effleurant le sol de terre, la tête haute à observer tout autour d’elle.

L’astre suprême, commença décliner. La belle guerrière vit se profiler à l’horizon une étendue bleue, curieuse elle se mit à courir sans faire de bruits. Lune de givre se retrouva sur la plage, le sable lui colla aux poils. Elle aperçut alors un rochet d’où elle aurait une vue d’ensemble sur la « mer » comme avait dit les autres qui l’avaient déjà vue. La blanche sautas dessus, secoua ses pattes pour retirer le sable et observa les vagues se fracasser contre le sable, les oiseaux qui cherchaient à attraper les poissons. Des papillons dans les yeux elle n’avait pas fait attention au bruit de pas qui sa rapprochaient derrière elle.

Invité

Il y a le soleil, le soleil qui réchauffe mon pelage, qui le fait briller comme des milliers de Diamants.
Il y a l'air frais, le vent léger qui fait trembler les moustaches.
Il y a aussi le chant des oiseaux, qui résonne à mes oreilles comme un appel.
Ce matin je suis sortie de la tanière, j'étais bien. La rosée mouillait mes pattes et brillaient sous le soleil levant. Je sais pas, ça m'a fait penser à la mer... La mer ça mouille les pattes, comme la rosée.
Et maintenant, je pars. Je suis loin des esprits des autres, ces esprits qui m'encerclent et qui m'étouffent, qui veulent me forcer à être comme eux.. Etouffante. Je veux pas devenir étouffante.
Il y a bien l'un d'entre eux, un de ces esprits, lui.. Il ne m'étouffe pas. Quand il est là, j'ai comme des fourmillements dans le ventre, c'est étrange mais je n'en ai pas peur... C'est même bien.
Quand je peux voir la mer, je sais qu'il ne me reste pas longtemps avant de rejoindre mon endroit préféré. Je fixe les vagues, comme ça, juste le mouvement de l'eau, qui part tout droit s'écraser vers le rivage pour y mourir. Pourquoi est-ce qu'elles ne font pas demi-tour, les vagues ? Je suis sure qu'elles veulent pas mourir... On doit les obliger à s'écraser sur la rive.
Mais cette fois... C'est différent. Il y a l'appel des flots, le soufflement du vent, le frottement léger du sable... Mais autre chose. L'odeur étrange d'un chat que je ne connais pas.
Je veux pas qu'elle me voit, mais je crois que c'est trop tard, elle sait que je suis là. Alors je la contourne, tranquillement, elle bouge un peu, je recule. Elle se retourne, elle me regarde. Les autres chats disent bonjour quand ils se croisent, mais j'ai pas envie de parler. Alors je m'approche, et lui dis Bonjour avec les yeux...
J'aime bien regarder ses yeux. Ils sont jolis. Je crois que je vais rester là encore un peu, à les regarder....

(PS : Si t'as rien compris faut pas s'inquiéter, c'est le raisonnement de Flèche :p)

Invité

La belle guerrière entendit un bruit léger de pas derrière elle. Seules ses longues oreilles frémirent. Pourtant elle n’ouvrit pas la bouche, ici c’était les terres libres, pas d’hostilité... Le regard perdu un instant seulement dans le vide, semblant regardée les vagues.
On n’entendait juste je fracas de la mer, la respiration régulière elle finit par ce retourné et fixé l’inconnue dans les yeux, elle savait où l’autre s’était placée, de façon à la regarder.
Elle aimait bien, qu’on la regarde. Apres quelques secondes, quelques minutes, quelques heures, la femelle finit par retirer son regard bleu azur, dans un petit haussement d’épaule et invita l’autre à venir s’assoir à coter d’elle, sur le gros rochet d’un gracieux mouvement de queue.

Puis elle repartit dans sa contemplation. Un léger sourire se dessina sur son doux visage. Non ce n’est pas elle qui commencera la conversation. L’autre lui avais dit bonjours avec son beau regard. La blanche aimait bien ce comportement, elles s’entendraient surement bien avec un peux de chance.

Un ami d’un autre clan ? Si un jour par le pur des hasards elles participeraient au Hunger games et qu’elles se retrouvent face à face, cela pourrais causer des problèmes... Mais bon ce n’était pas le souci maintenant. Un petit soupir s’échappa, allait-elle venir la rejoindre ?

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