Etoile Naissante Admin
Surnom : Quelque part, près du Lac de Feu, à regarder l'immensité bleu se fondre, se tordre en une flopée de lave, à voir les nuages se teindre d'orangées, et les étoiles arriver.. Messages : 2222 Date d'inscription : 23/02/2013
Votre chat Âge du félin: 50 Lunes Barre de vie: (200/200) Hunger Games:
| Sujet: Ephy's Galerie. Dim 21 Avr - 16:20 | |
| Bon bah, coucou tout le monde ! Surtout à toi Invité . Ne t'inquiète pas, une belle mise en page arrive ! Je vais faire trois catégories; une pour les poèmes, une autre pour les "citations" que j'ai faite, et une autre pour des "nouvelles"/textes. Commençons donc, après un avertissement; aucun plagiat ne sera toléré, si vous prenez quelque chose de ma galerie, il faut me demander la permission, mettre que c'est de "Nuage Ephémère", ne suffit pas !_________________ Nuage Ephémère _________________ Pour plus de mes écrits, rendez-vous ici.I. Poèmes :- Comme une fille j'ai appris à t'aimer, Comme une femme je te vois t'envoler.:
L'espoir s'amenuise, disparaît Mais rien ne reste plus que les regrets Mais qu'aurais-je fais de plus ? Tu repars dans ce bus Mais cette fois,Tu ne reviendra pas. Je le sais très bien, Car c'est ici la fin.
- Automne:
En cette saison-là, Les feuilles tombent Et c'est comme ça Comme une bombe Lancée ici et là Au plus grand hasard Un sacré bazars Fais dans ce coin-là Réchauffant mon coeur De ces belles couleurs L'automne est là. Avec toutes ces joies Et tout ces tracas Miles et une douceurs Qui font mon bonheur.
- Appris à rêver, à bien trop espérer:
Quand je regarde ces yeux, Je sais ce que je veux, Rester là pour toujours, Que ça dure plus qu'une vue, chaque jour Te voir, Rien qu'un moment, qu'une seconde Juste de quoi garder espoir Q'un jour faire partie de ton monde. Mais la vie est sélective, Et moi si captive De tes yeux, de ton coeur, Je ne cherche que ton bonheur Quel que soit le prix. J'ai appris A rêver, A bien trop espérer Pour sortir de ce blizzard, De sentiments, Impossible de voir autrement Ça qu'en secret de toujours Ceci est mon plus grand amour, Mon plus grand secret, Mon plus grand regret. Car je ne serais Qu'une inconnue pour toi, à jamais.
- Nuages:
J'ai l'impression de flotter, Qu'ils sont à ma portée, Et que, du bout de me doigt, Je peux les toucher, doux comme la soie Comme des plumes ou des diamants, Dont les contours scintillent tout doucement Je vois le ciel qui décline, Comme je te vois toi qui dessine. Et je vois un monde prendre vie, Sous mes yeux ébahis, Un autre monde s'ouvre à moi, Tout de feu et de rosé, Mais je ne suis pas certaine d'y croire, A cette vision colorée, Et je ne pense pas le pouvoir, Même si je sais que sa vient de toi Ma tête se relève, regarde le ciel. Puis tes lignes pastel, Et je me demande quelle réalité Est la mieux esquissé, Sans arriver à tomber d'accord, Pour l'un ou l'autre décor, Tout deux sont de rose, d'or De bleu, le jour qui se meurt Je me replonge dans les deux, Ma tête se lève, puis redescend peu à peu. Toujours aucune préférence. Je scrute d'un côté, de l'autre. Toujours aucune différence. Si ce n'est les traits toujours plus vifs du crayon, Rien d'autre. Oh, blanc comme des moutons, Les nuages se promènent gaîment Sur la toile, comme sur le ciel, lentement. Et puis, je choisie enfin. Ce que je préfère, c'est les nuages. Nuages qui arpentent les confins Du ciel dans toutes ses longueurs, Qui flottent, se baignant des couleurs du crépuscule, Dans toute ses largeurs. Puis, comme une virgule sur une page, je capitule. Aucun des deux n'est plus beau, Que se soleil qui descend de haut, Rien n'est plus beau, que le ciel et ses nuages.
- A l'aube d'un jour nouveau..:
La vie Est comme un jour de pluie En discontinue Que toi tu continue Un arc-en-ciel De chose peuvent arriver De l'accidentel Ou bien d'autres, c'est varié Il y a le choix Mais toi tu ne l'a pas C'est ce qui est bien Et frustrant En même temps C'est que, toi, tu ne décides de rien Ou presque Dans ce ciel étoilé J'aperçois d'emblée, Une nouvelle journée, Qui n'a même pas commencé, Peut être de nouvelles expériences, Patience, La nuit N'est pas finit Rien n'est perdu, Rien n'a commencer, A toi de jouer, Continue De creer ta vie, Avec l'aide du destin Qui n'y est jamais pour rien Crée ton paradis De tout pièce, Fantaisie Rien ne laisse Croire que tu n'es pas endormis Au pays des rêves, Entourés de miles songes, Mais maintenant, lève Toi il est l'heure, De l'aube, c'est l'aurore Passe un coup d'éponge Sur les catastrophes de la veille Un joyeux Soleil Se lève à l'horizon Maintenant qu'une nouvelle journée Est arrivée Revenons, chacun à nos moutons Aujourd'hui est un jour nouveau Il faut le prendre au mot.
- Monde Hypocrite:
Jeunesse Idyllique
Monde dit 'Fantastique' Cube à demi-entassé Fragments de vie brisés Souvenirs profondément enfouis. Crépuscule d'une vie Coucher de soleil final Ça semble si normal
Si naturel Dans les ruelles Sombre
Emplis d'Ombres Inquiétante Trop existante Dangereuse Qui rode Grande faucheuse Nouvelle mode Funeste, Façon de mourir, Céleste ? Non je ne crois pas Moi qui dit tout bas Ce qu'ils ne murmure pas Ici et là. Sous leurs airs angélique, Leurs histoires, mystiques. Mais si semer la mort Est un mérite Alors ne sortez plus dehors Protégez votre vie, et vite D'un destin tragique, Mélancolique. Un cercueil noir, Une rose blanche Dans le gris du soir, Une planche Deux, trois De bois. C'est le cercueil De la fierté, de l'orgueil Sombre ruelle Chasse individuelle, Choses cruels Défi funeste Un rêve, cauchemardesque. Individus sans scrupules, Indigne crapule.
- En eau profonde:
Quelque part, dans les profondeurs aquatiques Est offert un spectacle fantastique Un ballet sous-marin Rythmé par un écho lointain L'écume s'abandonne à la surface de l'eau Parcourus de reflet Du plus bel effet Les poissons, les bulots Accourent pour voir L'effervescence d'un soir Déclenché sans le vouloir, Par la lune et le ciel noir.
- Dans le cimetières abandonné..:
Entre deux frontières, Dans ce cimetière Douleur intemporelle Plaie béante, Existentielle Innocente Et elle lit les pierres tombales Un sanglot coincé dans la gorge Voile de tristesse qui se forge Gouffre ancestral Goutte de pluie Sur ces yeux rougis Détresse apparente Jeune femme déplorante Bonne figure illusoire Sombre histoire Robe de lin abimée Cheveux au vent lâché Mauvais constat sous ces yeux Cernés De tâches mauves, violacé Ciel orageux Et une inscription Attire son attention Et elle reconnait le trépassé Goutte salé, Dépassée Prise de cours par les évènements, Seule avec ses tourments.
- Escapade Nocturne sous le Ciel Taciturne:
Ombre fugitive qui en silence se mouve, Mais soudain elle s'arrête, Tout sens en alerte Et, comme la louve Reprends, Son escapade silencieusement Puis elle entraperçoit, Enfin Les ombres opalescentes sur la paroi, Il y a la fontaine en contrebat, Et avant le petit matin Elle doit y être, elle avance à grand pas. Cape noir Dans la nuit profonde Fait mine de ne rien voir Alors qu'elle retrouve la fontaine de la rotonde. Sans plus de mal, Finie la balade Elle rentre un peu moins maussade Attendre que le jour se lève Et que la nature s'éveille Entouré d'esgail Pendant que chacun rêve.
- « L'amitié sans confiance, c'est une fleur sans parfum. »:
Elle avait les yeux bleus, Les yeux bleus comme les cieux Cet air impérieux Mais surtout si chaleureux Ces petites pommettes saillantes Sa mélancolie apparente Son regard affectueux Plus belle que les dieux Rigolant pour un rien Pour prouver qu'on est vivant Amie De toute une vie Confidente Polyvalente Amie de toujours Croisé à un carrefour Un soir, à tout hasard Alors qu'il faisait noir Yeux rieurs Dans la pénombre, une lueur Son nez aquilin Son air abyssin Font d'elle la meilleure personne que j'ai connue Une perle rare absolue.
- Vaillant Soldat [..:
] Reste là Vaillant soldat Ne pars pas loin de moi Je suis ton roi, Où plutôt ta Reine Ne va pas ailleurs, Vers d'autres seigneurs Preux chevalier en déroute Moi seule t'écoute Ne t'accuse pas De se que tu ne commet pas Tu clâme ton innocence Et eux réclame vengeance Confis-toi chevalier Ne te fais pas prier Je t'écoute parler De ceux que tu n'a pas tués Mais je te sais innocent Pauvre ami imprudent Trop noble pour Comprendre que toujours, Se cache l'ennemi dans l'ombre Plus fort en nombre Il existe la fuite, Le replis, vite Mais tu mourras sur le champs de bataille C'est pour sa qu'il faut que j'y aille Pour te dissuader, Te protéger Reine guérrière Recherche son chevalier, Chateau prospère Aux miles dangers Tiens bon, j'arrive Atteinds l'autre rive Je suis là. Tout prêt de toi. Pauvre chevalier exaspéré De la fausse Reine que j'ai été. Toi qui n'avais pas compris Que je voulais seulement te garder en vie Pour moi, et j'en ris Et moi, Reine guerrière, je te dis : "Peut importe ma survie."
- Je suis blessée par la vie, par ses mots. Je suis blessée mais je continue à vivre, par défaut.:
Comment retrouver, Notre complicité D'antant, D'avant C'était l'osmose, Mais la vie n'est plus rose Au contraire même, Regarde la vie que tu mène Je n'ai plus confiance, Plus de confidence Tu m'a assez pourris la vie, Va voir ailleurs si j'y suis Tu n'es pas banal, Pas non plus anormal Et tu en jous Maintenant partout Tu n'as rien compris, D'après ce que je vois aujourd'hui Qu'a tu fais, De celui que j'aimais S'il est en toi ? Et bien où sa ? J'en ai marre de chercher, Aide moi à creuser Il n'y à que lui qui m'interesse, Le reste, je te le laisse Aucun regret, Que du vrai Je ne te mens pas, Crois-moi Et si tu ne le veux pas, Je ne t'y forcerais pas En est-tu bien sur ? Ta demande est dure. Pleins de rencoeur Et maux du coeur T'oublier n'est pas si facile, L'amour est moins futile Dans ce cas je part loin, Je m'éloigne plus ou moins. Je te laisse à ta vie, Et reprend mon ennuie Ne me regarde pas comme ça, Je prendrais sur moi Je ne craquerais pas, Il ne le faut en aucun cas Je me retourne sans cesse, Ton coeur est une forteresse Impénétrable, Et indompatble Mais mon coeur n'est pas de glaise Et mes sentiments ne change pas à mon aise. Ta requête me fait mal mais je dois la respecter Pour que tu reprenne ta vie là où je l'ai arrêtée Je suis en train de souffrir Avant de me reconstruire Une nouvelle fois Loin de toi J'essuie les blames, Mais que faire si mon âme Ne brule déjà que pour toi J'aurais aimé te rencontrer avant, Mais décidément La vie est contre moi à se que je vois Adieux, être aimé de mon coeur, Laisse-moi pleurer mes erreurs Je te regarde une dernière fois, Tu sais que tout ne tien qu'à toi Ton regard n'exprime rien, le néan, Pendant qu'en ma poitrine s'ouvre un trou béant.
- L'amour est aveugle, L'amitié ferme les yeux.:
Je cherche la personne qui me comprendra Ou du moins essayeras Fera tout ce qu'elle peut Pour me comprendre un peu mieux Qui me fera sourire Quand je pleurs, Rire Quand j'ai mal Celle qui me trouvera normal Rien de plus, de moins Qui ne jouera pas de rôle, Qui n'en fera pas tout un foin Avec qui je partagerais mes secrets Qui dira "C'est pas drôle" En m'aidant à me relever Qui me fera comprendre Qui m'aidera à attendre Les jours meilleurs Et le bonheur Qui viendra un beau jour Quand on ne l'attends plus Et qui s'ajoutera, en surplus Comme toujours, Quand on ne l'en veut plus Que le malheur est déjà parti, vaincu
- Mais où est donc passé la pluie ?:
Mais où est donc passé la pluie ? Se fin rideau de gouttelettes Translucide larmes de suie Tombent en cascade sur les têtes Ou s'en vont abreuver les pommes de rainettes Filles du ciel, comme autant de marionnettes Et quand l'esgail se décide enfin à poindre Que déjà le spectacle n'est plus des moindres Que l'aurore à embrasé le ciel de reflet Sans pour autant retarder l'inévitable Puis que descendant, la lune ineffaçable Laisse dans son sillage son parcours tracé Offrant à son ami le soleil la journée Qu'avec pluie ou éclaircie il peut égailler.
II. Citations :" La vie est le berceau de l'imaginaire, et moi, je suis trop étrange pour être du même monde que le votre.. " " Je ne sais pas de quel côté est mon cœur, il n'a jamais battu assez fort pour ça. " " Je suis une bonne oreille; de bons conseils, mais qui saura m'écouter, moi ? " " La mauvaise nouvelle est toujours plus surprenante que la bonne. " " Quoi que tu dises, quoi que tu fasses, tu sera toujours critiqué, y en à qui trouverons toujours à redire, alors autant pas s'en soucier. " " On à qu'une âme, mais deux visages.. " " Tout se paie un jour ou l'autre, directement ou pas. " " Comme si ma vie ne m'appartenait pas. Comme si tout n'était que du cinéma. " " Je ne suis pas lourde, c'est mon centre de gravité qui te rappelle au sol. " " L'Homme est un être rêveur; il a presque autant d'illusions que la vie peut en enlever. " " Une fille, ça ne se pomponne pas, sa se donne une contenance. " III. Textes :- Clameur de loup:
Au loin, comme en écho à la sinistre clameur du loup gris solitaire, la lune s'élève, perçant les nuages dans un silence discontinu. Soudain, une ombre absorbe les pâles rayons de la lune, plus de lumière, tout redevient noir, laissant la forêt dans un clame oppressant, rompu seulement par un hibou des sous-bois, le nuage passe et le demi-cercle argenté éclaire de nouveau faiblement une colline, un animal y est, couché sur le flanc, tête renversé en arrière, son ultime appel résonne dans le petit vallon blanc de neige. D'un coup, l'animal ouvre les yeux, ses pupilles dorés brillent dans la nuit, comme un second soleil, mais nocturne, le ciel étoilé luit doucement, projetant ombres et formes indistinctes au sol. Il baisse la tête un court instant, comme hésitant, puis la jette brusquement en arrière et attend que des effluves bien connus remplissent ces narines. Il lance un petit couinement plaintif, une étrange lueur dans les yeux. Mais pas de réponse, alors, il transperce de son intense regard un fourré à quelques pas de là, vers l'ouest, et se met à courir, subitement, tendant ces muscles pour bondir à chacune de ces foulées. Il va si vite que ces pattes foulent à peine le sol humide de la forêt, projetant humus et feuilles mortes derrière lui dans sa course effrénée. Et soudain, un craquement sourd l'alerte, il n'est pas seul, du moins ne l'est plus. Se tournant pour suivre la potentielle menace qui, tout comme lui, le regarde, invisible dans l'ombre, il tombe sur deux yeux perçant, gris pâle, presque translucide dans la noirceur ambiante. Et une fourrure blanche, immaculée, vient se frotter contre son flanc pendant qu'il baisse la tête, penaud, mais aussi fier, tout un défilé de fourrures disparate plus tard, la meute est enfin au grand complet.
- « L'amour est une plante gaie arrosée de tristesse. »:
La bâtisse était grande et assez haute, rivalisant avec la cime de certains pins des alentours. Les murs étaient noirs, couleur chocolat, tout comme la toiture, confèrent un ensemble assez lugubre, la maison perdue dans une grande forêt sombre. La porte noire traversée de fine nervure une teinte plus claire. Une fenêtre encadrée du même bois foncé que pour le reste du bâtiment, vitres bleutés d'où l'on pouvait aisément apercevoir deux rideaux blancs, contrastant avec l'extérieure noirceur du décor. Des oiseaux s'envolaient de temps à autre des arbres dans un froissement d'ailes indistinct. La température chuta de quelques degrés supplémentaire, renforçant le lugubre de la scène. En fond, à quelques kilomètres de là, des montagnes aux pics enneigés refroidissaient progressivement la température ambiante. De la buée s'échappait à chaque respiration, expiration comme inspiration, formant un nuage brumeux à hauteur de visage. De la fumée sortait d'une cheminée dont le feu venait d'être allumé, à l'intérieur de l'habitacle. Un lapin passa devant en courant, parsemant la fine couche de glace et de neige de petites traces de pattes. La fenêtre s'entrouvrit, laissant apercevoir une maigre silhouette. Puis, au bout de quelques minutes, une sinistre mélodie au violoncelle s'éleva, mélancolique, infiniment triste. Profonde, si caractéristique des sentiments contradictoire qu'éprouvait la personne. Le rythme était démesurément lent et finissait souvent dans les aiguë, à l'extérieur, le temps était comme stoppé par la lancinante mélodie. Puis, contre toute attente, la musique cessa soudainement, laissant planer un silence de mort sur la forêt et la maison. La porte s'ouvrit brusquement, un souffle gelé sortit de la pénombre, une personne encapuchonnée dans un entremêlement d'étoffes foncées, dans une robe noir, cotonneuse, vaporeuse donnant l'immuable impression que sa propriétaire flottait au dessus du sol blanc agrémenté par le reflet de l'astre sphérique irradiant de lumière. Un bout de peau blafard se découvrait par intermittence, dévoilant des doigts fins replié sur un instrument luisant et un archer. Le silence que la jeune fille avait involontairement créé s'épaissit, et elle continua son chemin, laissant de légères empruntes dans son sillage, le sol contrastant avec le tissus aussi noir que la neige était blanche. Et enfin, après un murmure à peine audible, elle s'en alla, son image se perdit dans la brume, ne laissant s'écraser au sol qu'une unique goutte salée.
Deuil;
- Pour une "Maette", une de mes amies:
Dans la vie, chacun fait ce qu'il peut pour être heureux, mais parfois, rien ne vient. Et pourquoi ? Parce qu'on à pas trouvé notre raison de sourire. Quoi ? Vous, il ne vous faut pas de raison ? Moi si, parce que les commissures de mes lèvres descendent toute seule. Alors, j'ai cherché. Enfin non, sa serait mentir. Sa s'est imposé, à moi. Comme un idéal. Une chance. Peut être que j'exagère ? Que je ne suis qu'une personne parmi tant d'autre à s'imaginer être importante, et alors ? Quelque part, je suis une sorte de pilier, fragile, mais un pilier, qui le maintienne. Vous ne comprenez pas ? Je traduis ; un pilier, qui maintient quelqu'un. Toujours rien ? Qui aurait besoin d'être soutenus ? Encouragé ? Tout le monde. Oui, mais qui précisément ? Une star. Chanteur, danseur, et j'en passe. Mais moi, ce qui m'intéresse, c'est la voix, donc, chanteur. Un chanteur, comme toute 'star', sa à besoin d'être soutenus, et chaque 'pilier' est important, parce que si quelqu'un se dit que non, on a pas besoin de lui pour 'soutenir' une personne, pourquoi les autres ne ferait pas pareil ? Et hop, la pyramide s'effondre, la personne tombe. Mais un pilier, c'est quelqu'un qui ne pli pas, qui défend cette personne, et un pilier, c'est un fan. Et moi, j'en suis une. Et je soutiens comme je peux la personne qui m'à ouvert les yeux. Ma religion à moi, c'est d'être une maette, pas besoin de plus pour que je sois heureuse, rien qu'à penser à lui me donne le sourire, oui, parce que sans lui, que serait ma vie ? Un gouffre ? Un tourbillon joyeux ? Peut être, mais ce n'est pas moi qui essaierais, qui souhaiterais retourner en arrière et louper sa, parce que je suis un fan, un fan parmi tant d'autre, mais justement, chaque personne à son importance, et moi aussi, je veux l'avoir, parce que je sais qui m'à donné le sourire, parce que je sais à qui je dois tout sa, cette vie que j'aime, et qui sans ça, ne serait pas pareil. Oui, peut être que j'exagère, mais vous, que diriez vous, que penseriez vous de quelqu'un qui vous sauve de la noyade, par exemple ? Pas comparable ? Ce que vous croyez, moi, je me noyais dans ma routine, dans ce quotidien, maintenant, on à rallumer le soleil, et mon soleil, c'est lui. Et ce lui, c'est Christophe Maé.
- Une Passion n'à-t-elle pas forcément de raison ?:
Si tu as une passion, c'est qu'il y a une raison. Tu t'ennuis ? Peut être, mais ce n'est pas ça. Car, une passion, sa se découvre au hasard, en essayant quelque chose, ou, en faisant ce qu'on te demande par exemple, comme certains, leurs passions, c'est les maths. C'est peut être venu en faisant les devoirs ? Qui sait. Mais dans tout les cas, une passion reste une passion. Et vouloir que quelqu'un en change, parce que soit disant 'sa prends de trop grande proportion', c'est pas normal. Tu as fait quelque chose de mal ? Oui ? Alors ok, sa se discute. Tu n'en as pas fait ? Bien, c'est là qu'il faut faire quelque chose, parce que si quelqu'un veut que tu changes, que tu n'aimes plus ce que tu aimes, que tu change tes goûts pour les autres, c'est qu'il y a un problème. Pas d'accord ? Tant pis, c'est que mon avis. Et mon avis il dit que d'essayer de changer une personne, qui ne fait rien de mal, à part faire quelque chose qu'elle aime, c'est un crime, parce qu'après tout, ne dit-on pas que ; "Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer ?"
- Différence, sa rime avec quoi ?:
La différence, on en fait ce que l'on veut. Il y en a qui la préfère, mais qui te regarde de travers, et qui après dise que ; « La différence est une attirance ». Et toi tu les vois qui murmure sur ton passage. Pourquoi ? Sa tu sais pas, toi, t'a toujours été comme ça, et pourtant, maintenant, sa plait pas. Et il y en a d'autre, peut être un peut moins hypocrite, mais étrangement, c'est souvent eux qui te regarde le moins, qui dise que ; « Qui se ressemble s'assemble ». Etrange, non ? Et bah moi je trouve, mais y parait qui faut de tout pour faire un monde.
- Et moi, je suis censé être qui ?..:
Moi, je suis une fille. Oui, mais qui, comme fille ? Et bien je suis une fille simple, mais si complexe à la fois, comme les filles, je ne suis pas facile à décoder, et très peu de gens y arrive. Moi, je ne sais pas qui je suis, alors, à défaut de savoir, je cherche qui je ne serais jamais, pour pouvoir devenir le contraire. Je suis une fille qui lit tout le temps. Qui lit pour vivre autre chose, pour m'échapper. C'est pour sa que souvent, je n'ai rien à dire ? Peut être. Mais comme les filles, quand j'aime bien le sujet, je participe, et moi, quand je ne sais pas quoi dire, souvent, je ne dis rien, m'occupant à penser à ce qui se serait passer, si je l'avais dit, mais je ne regrette pas, parce qu'un jour je sais que je ferais ce qui me plait, et que tout sa, ne sera qu'un lointain souvenir, alors j'attends, en profitant des bons et en subissant les autres, parce que je sais que parfois, mieux vaut prendre ce qui vient, et ne pas se prendre la tête, si quelqu'un ne t'appelle que lorsqu'il en a besoin, tant pis, amuse-toi de temps en temps, et après, fais comme ci de rien n'était, car tu sais que les véritables amies doivent être là, tu sais maintenant qui ne l'es pas, mais tu souris quand même, pour cacher que tu as de la peine, parce qu'encore, tu ne sers à rien, tu te sens seule, mais bon, tu fais avec, et quand tu trouves une vraie amie, tu sais ce que tu ne feras pas, c'est sa, la vie, c'est les choix, les erreurs, et surtout, c'est apprendre. Et apprendre à vivre, c'est tout un art.
- Carrefours, fumées, et erreurs:
Dans la vie, il y a un moment où tu arrives à un carrefour, décisif ou pas, il reste important. Ou plutôt, ces répercutions restent importantes. Moi, je pense que, quoi qu'on fasse, c'est toujours une erreur. Erreur heureuse ou pas, on passe toujours à côté de quelque chose, sa sert à sa les choix, et sa peut compter comme une erreur de parcours. Qu'il faudra essayer de rectifier la prochaine fois, en choisissant à l'aveuglette, l'erreur la moins grave, l'erreur sans conséquences n'existant pas, celle qui en engendrera le moins. Peut être que sa fait pessimiste dit comme ça, mais sa m'à l'air réaliste. Parce qu'à chaque fois, en choisissant, on peut changer une vie du tout au tout. Et parfois sans le vouloir, ou justement, en voulant aider, on peu faire l'inverse. Parce qu'on à pas tenu compte des conséquences. Avec elles, il faut faire attention, chaque imprudence peut coûter chère, à soit comme à autrui. Mais une vie de prudence, sa doit être long. Et ennuyeux. Ors, une vie, à ce que je sache (sans compter les éventuelles possibilités de réincarnation), on en à qu'une. Et en gâcher une pour ne pas faire d'erreur, alors qu'on en fait toujours, sa ne veut rien dire et je ne crois pas que sa tente qui-que-ce-soit. Alors, je pense, qu'il vaut mieux laisser aller, mais pas trop quand même, mais qu'il faut laisser la vie faire son travail, peut être en aidant un peu, mais surtout, s'amuser, tout en restant raisonnable, vu qu'il n'y à pas de fumée sans feu, et que chaque action compte. L'expérience étant pour ainsi dire voisine à la vie, qui elles-mêmes sont les résultats de suites d'échecs, j'ai peut être une chance de ne pas faire d'erreur en avançant la -peut être- véracité de cette hypothèse.
- La consistance d'un trou noir, ou la non-logique d'une fille qui se comprend:
Encore une de ces longues journées flous, trop longues et trop courtes à la fois qui me font réfléchir, à diverses choses, comme, par exemple, à ceci. Pourquoi n'arrive-t-on pas à imaginer clairement le néant ? Moi, quand j'entends ou pense à ce mot, je n'imagine rien d'autre que du noir. Mais, le noir étant une lumière, ce n'est pas possible, alors j'imagine un trou noir. Cette chose étrange et insatiable dans l'espace, qui aspire tout sur son passage. Car, ce qui est aspiré existe-t-il encore ? Ou n'à plus de matière, comme s'il n'avait jamais été là ? Sa y ressemble peut être un peu. Mais le néant ne signifie rien. D'ailleurs, pourquoi avoir inventé un mot qui ne désigne ni ne veut rien dire ? Peut être pour donner un nom à l'inconscience. A la non-existence. Toujours est-il que, ce trou noir, m'inspire le 'rien' à l'état pur. Mais le 'rien' ne pouvant ressembler à quoi que ce soit, je m'arrête là dans mes réflexions avant d'en perdre le fil. Car même s'Il est dans la nature de l'homme de quantifier et de nommer l'innommable, l'inexistant, c'est s'aventurer sur des chemins trop tortueux pour l'esprit que d'essayer d'expliquer les méandres du néant, du vide. Sur ceux, je m'arrête donc là.
- Nuit D'orage:
Aujourd'hui le ciel est gris, et, penchée à la fenêtre, je regarde le temps se dégrader lentement, les nuages s'obscurcissent à vu d'œil, donnant un aspect presque lugubre au ciel, et j'attends, à regarder tomber les gouttes de pluies qui s'écrasent sans bruit sur les vitres. Le ciel est maintenant menaçant, noir comme un ciel d'orage, avec son tonnerre et ses éclairs, le vent fait trembler les arbres qui se courbent et s'engouffre dans la toiture, dans un bruissement incessant. Puis, doucement, ce même vent qui hurle au-dehors chasse l'amoncellement de nuages noirs, et le tonnerre cesse, puis à leurs tours, les éclairs. Le ciel s'éclaircit d'une teinte, ne reste plus que la pluie qui s'obstine, mais qui ne devient plus qu'une petite bruine inoffensive. Et peu de temps après, le soleil se lève enfin, sur un beau ciel bleu, qui contraste avec l'obscurité de cette nuit, qui d'ailleurs est finie. Et l'orage aussi.
- Le Cerveau Humain:
Le cerveau humain est si limité qu'il ne peut imaginer que le possible. Par exemple, la fin du monde. Quelqu'un a-t-il déjà dépeint l'impossible ? Pensé l'irréalisable ? Le cerveau humain, si compliqué soit-il, ne voit qu'en trois couleurs. Plus une lumière et une ombre. C'est effarant. Surtout si on pense que, quand on écrit, si ça se trouve, on écrit à l'envers, et que c'est l'œil qui retourne l'image. Bref, revenons-en aux couleurs, il y en à donc cinq, même si deux d'entres elles sont considérés de non-couleurs. Donc non, finalement, il n'y en à même pas cinq. Mais ces trois couleurs, elles peuvent être mélangées. Et donc, produire une quasi-infinité de teintes. Mais surtout, les couleurs, il n'y en à pas tant. Par exemple, l'arc-en ciel, il à bien sept couleurs ? Et bah voilà, essayer d'en imaginer une huitième. C'est impossible. Pourquoi ? Étroitesse d'esprit ou de la vue, allez savoir. Peut être que ce sont les reptiles et les chats qui on le reste ? Et dire qu'en plus, on utilise moins de 50% des capacités de notre cerveau.. Parfois la science, ça me dépasse..
~ New !- Par une journée pleine de neige..:
La douce candeur de son sourire me poursuivra toujours. La jeune enfant, fillette parmi les flocons virevoltant releva son pâle visage vers les cieux ombrageux. Comme si le moment, l’instant, fut comme arrêté, mes yeux purent voir cet air. Un air des plus délicieux ; les yeux clairs de l’enfant aux fines boucles donnaient on ne sait quel sentiment au cœur qu’il m’est impossible de nommer ou de décrire, mais ainsi lancé, il m’est bien impossible de ne pas le tenter. Voyez la fillette qui, de la seule profondeur cristalline de ces yeux d’aigue-marine, vous transperce le cœur. Et ce regard.. Mais quel regard ! Tout de bonté et d’innocence. Et, ce fut, je pense, cet air de bonheur simple, de joie pure qui bouleversa mon être. Comment un être si jeune et fragile eu put faire naître en moi ce sentiment ? Mystère, la question me hante encore, parfois, coupant mes réflexions en de jolis souvenirs. L’enfant tournait, valsait avec les flocons, tournoyait sans quitter les purs fragments de neige des yeux, cet étrange sourire, si fin et délicat, mais si candide et merveilleux sur cette jeune enfant ! Sans jamais se prendre les pieds dans un quelconque obstacle complotant contre sa bonne âme, venu là pour la faire chuter. Emplie de grâce et de ce petit air rêveur d’enfants prédestinés fils et filles de l’imaginaire et de tous ces donc et biens, danse parmi les autres, innocente ballerine affranchie de sa boîte à musique, la voilà qui lâche le ciel du regard et se plonge dans le mien comme en un autre, émerveillée par la neige qui se dépose sur ses petites mains enfantines, bientôt gantées de moufles de fourrures, sans doute venue de la capitale et assortie à sa toque blanche. Je me détourne de l’enfin qui, volage dans sa curiosité, papillonne vers d’autres nouveautés et m’en vais peindre..
_________________ Nuage Ephémère _________________ Voilà, merci d'avoir lut, j'espère d'ailleurs que votre lecture a été agréable, si vous voulez commentez, merci de le faire poliment, et de me conseiller/me corriger (gentiment), si nécessaire .
Dernière édition par Etoile Naissante le Mer 24 Avr - 17:23, édité 2 fois | |
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